Après une nuit et une fin de matinée orageuse, nous partons pour trois petits vols.

Les Sables d'Olonne après le décollage.

Notre première escale l'île d'Yeu.

Au sol sur l'île d'Yeu, même si le survol maritime est court nous portons les gilets de sauvetage pendant le vol.

Une baie très connue avec une grande plage.

Voici la réponse pour ceux qui ont séché. Nous avons mangé un petit morceau avant le dernier vol de la journée.

A l'ouest de la Baule, le Croisic.

Puis le Golfe du Morbihan.

Puis Quiberon, que nous longeons pour la traversée vers Belle-île notre destination finale du jour.

Arrivée sur Belle-île, la citadelle de Palais et de superbes couleurs pour l'océan.

Voici la courte piste de Belle-île, elle paraitra d'autant plus courte qu'une panne empêche la sortie des volets pour l'atterrissage. A noter pour le futur qu'il faut minimum 700m pour se poser confortablement sans volets. Au sol, c'est juste le fusible qui a grillé. A surveiller.

Après l'arrivée, Sabine s'offre un massage à l'hôtel tandis que je pars à la découverte des environ à vélo.

Nous avons quelques jours de libre et prévu d'aller faire un petit tour en Bretagne avec retour par la côte vendéenne. Le plan prévu est un peu chamboulé par le temps moyen prévu sur la côte nord de la Bretagne, c'est pourquoi nous nous dirigeons plus au sud pour faire le tour en sens inverse de celui prévu.

Voici notre première escale. Forcément la piste est orientée est-ouest.

Voici un peu plus de précision

Les derniers jours ont été l'occasion de quelques premières avec le F-PSGA. Nous sommes partis pour la première fois hors de France avec les contraintes associées (documentation, plan de vol p.ex). Notre destination était le terrain de Francfort Egelsbach, quelques kilomètres au sud de l'immense terrain de Francfort sur le Main. Le passage de la frontière et le vol en Allemagne ont été un non événement. L'arrivée à Egelsbach ressemble un peu à l'arrivée en région parisienne avec le passage sous les zones de l'aéroport international suivi d'un cheminement destiné à diminuer l'impact du bruit sur cette zone très urbanisée.i

Hier, soit le lendemain de notre arrivée, deux baptêmes au programme : celui de ma marraine

avec le survol d'un petit chateau sur les contrefort au sud de Darmstadt.

puis ce fut au tour de Petra.

L'accueil à Egelsbach (EDFE) a été très chaleureux, les taxes d'atterrissages et de stationnement sont très raisonnables (respectivement 7 euros et 5 euros pour 24h). Seul point noir, l'essence est 25% plus chère qu'en France.

Pour une première ce fut une réussite.

Enfin un peu de beau temps, avec Sabine nous avons fait un petit vol vers les chateaux de la Loire.

En premier Chambord

Puis Chenonceaux

Après un petite pause à Amboise, voici le chateau qui inspira Hergé pour Moulinsart, le chateau de Cheverny.

Aujourd'hui, tempête de ciel bleu, temps de curée sur le nord de la France, nous décidons de faire un petit vol vers le Mont Saint-Michel, une petite pause à Granville et retour vers Nangis. Cela commence plutôt mal, la pompe à essence refuse de fonctionner pour faire le plein mais comme il reste assez d'essence on remet cette opération à notre escale normande.

Départ sans problème mais au bout de 10mn de vol, la température d'huile chute avec allumage des alarmes associées sur les écrans. Tous les autres paramètres sont normaux, la température redevient également normale. Puis rebelote quelques instants plus tard avec cette fois une température anémique et l'alarme allumée de façon permanente. En soit, rien d'inquiétant mais nous sommes encore proche du départ et faisons demi-tour vers Nangis.

A priori il s'agit soit d'une panne du capteur, soit d'un problème de câblage. Les quelques investigations menées ne permettent pas d'en savoir plus pour le moment.

Au retour à la maison, quelques recherches sur le net permettent de constater que la sonde semble fragile. J'en ai commandé une autre même si finalement c'est le câblage qui était en cause.

En tout cas, le Mont Saint-Michel c'est pour une autre fois.